Korat Céleste

Elevage de chats de race Korat, Thaï Burmese et Thaï Tonkinois Bleu.

Isis songe...
Isis songe...
Isis se réveille...
Isis se réveille...
Jūza n'ha Amon-Sül du Korat Céleste
Jūza n'ha Amon-Sül du Korat Céleste
Portrait d'Isis...
Portrait d'Isis...
Le chat de race Korat, un compagnon adorable !
Le chat de race Korat, un compagnon adorable !

HTTYB - Timba

 

I) La France, ce pays qui contrairement au reste du monde...

Possède une législation un peu particulière que l’on appel “Code Rurale” et qui défini certaines choses dont une mention un peu particulière : “un chat né en France ne peut porter la mention "de race" que s'il est inscrit sur un livre généalogique reconnu par le ministère chargé de l’agriculture."

Cette mention viens apporter au regard du droit une “garantie” supposée quand à l’appartenance à une “race” en permettant en théorie de régler les problèmes de fraudes.

En théorie, un chat possédant un pedigree est donc confirmé “légalement” que c’est bien un chat appartenant à une “race”. C’est sensé être simple sauf que... en réalité c’est un peu plus compliqué que cela.
Car pour être déclaré appartenant à une “race”, le chat doit répondre à une norme appelé “standard de race” qui est sensé pouvoir définir une grille d’évaluation et ainsi nomenclaturer le vivant avec des spécifications précises d’apparence (cf : http://www.korat-celeste.com/le-korat/le-standard-loof).

II) Le standard, une nomenclature arbitraire...

A partir du moment ou on défini des caractéristiques pour définir une race, on impose de facto un périmètre limitant la diversité de la “race” que l’on est sensé décrire.

Se faisant, les éleveurs sont appelés se conformer à cette nomenclature et à exclure tout individu non conforme à celle-ci.
On commence ainsi à voir ainsi se dessiner l’effet pervers de ce système sur la biodiversité car en excluant ainsi des individus non conformes aux yeux de la nomenclature on s’interdit de maintenir le caractère naturel et diversifié de la “race”.
La mise en place d’un signe “=” entre la généalogie et le standard est le paroxysme d’une stupidité que provoque la corrélation entre la mention “race” et l’obtention d’un pedigree émis par un livre généalogique reconnu par le ministère chargé de l’agriculture.
Ainsi, si génétiquement le chat appartient bien à une race par sa généalogie mais si administrativement il n’est pas conforme, il ne sera pas reconnu comme étant de “race” ; la pirouette administrative pour régler ce problème étant de le qualifier “d’apparence à la race”.
Mais du coup, si il n’a que “l’apparence” d’un chat de race, ce n’est donc pas un chat de “race” !
Voilà, le résonnement simpliste mais implacable qui contribue à la perte de diversité inexorable qui découle de ce système sur les “races”.

III) Appartenance, apparence et généalogie...

Pour appartenir à une race, il faut donc que le chat, son apparence et sa généalogie et sa provenance soit reconnue et normalisée par un organisme normalisateur.

Mais que faire quand l’organisme qui défini la norme décide de façon arbitraire une norme en s’appuyant sur des règles subjectives et non sur un consensus scientifique ?
Que faire quand la norme a comme effet pervers de légitimer des pratiques qui aboutissent à l’appauvrissement de la diversité génétique de la race ?
Que faire quand des chats appartenant génétiquement à une race se retrouvent ainsi exclus de la mention “race” pour des raisons... politiques ?
Obligeant ainsi les éleveurs à des complexités administratives, des restrictions et des règles qui vont ainsi les décourager à maintenir un pool génétique diversifié et les obliger à rester uniquement dans le périmètre définie par le standard.

IV) Notre réponse...

Nous avons décidé, par amour des chats que nous élevons, de nous inscrire à un programme de préservation et de promotion d’une race, Le Maew Boran dont le Korat et le Thaï Burmese sont issues dont l’organisme normalisateur ne reconnait pas et ne veut pas reconnaître l’existence car cela ne correspond pas à ses grilles normatives et pour d’autres raisons... politiques.
Ce programme de préservation s’appuis sur une traçabilité génétique, donc d’une généalogie qui permet d’éditer un document certifiant l’appartenance à la race “Maew Boran” et à la famille au sein de la race puisque celle-ci comporte un certains nombre de familles identifiées scientifiquement grâce à la génétique.
Ce n’est donc plus une nomenclature arbitraire qui défini l’appartenance à une “race” mais bien des faits scientifiques prouvé par la génétique.
Le document certifiant de la généalogie du chat est donc enregistré par un organisme en charge du programme de préservation de la race Maew Boran à savoir la Timba.

Mais la Timba n’est pas reconnue par le ministère de l’agriculture comme un organisme normalisateur puisque c’est un organisme étranger (Thaïlande). Par conséquent, administrativement, les chats disposant d’une généalogie certifiée par cet organisme ne sont pas reconnue en France comme étant...des chats de race ! (sic !)

V) Transparence.

Conscient de ce problème, nous avons voulu être parfaitement transparent en ce qui concerne la différence entre un chat reconnu par l’organisme normalisateur nommé par le ministère de l’Agriculture Français et la Timba
Sur notre site Internet et sur notre page Facebook nous avons indiqué clairement la différence entre les deux systèmes (http://www.korat-celeste.com/notre-chatterie/les-pedigrees). Nous avons aussi décrit les caractéristiques précises et le périmètre de notre travail à travers de nombreux articles sur notre site Internet.
A nos yeux, appuyé sur des arguments scientifique, il n’y a pas de différences génétiques entre les chats enregistrés sur l’un ou l’autre système mais nous faisons une différence administrative afin que les adoptants aient connaissances de cette particularité et au regard de la particularité du système législatif Français.
Les chats portant la mention “Korat” sont enregistrés auprès du livre généalogique reconnu par le ministère chargé de l’agriculture et porte la mention “Chat de race Korat” et ont un pedigree émis par l’organisme normalisateur Français.

Les chats portant la mention “ Maew Boran - Korat” sont enregistrés auprès de l’organisme chargé de la promotion et de la préservation de la race Maew Boran et porte la mention “Breed - Variety : Chat Maew Boran - Korat (ou Maew Boran - Thaï Burmese)”.

Il n’y a donc pas de confusion, ni de mélange entre les deux systèmes.
Nous sommes parfaitement conscient que cela apporte une confusion, et par conséquent nous voulons être parfaitement clair et précis quant à la qualification des chatons que nous vendons.

Nous restons bien évidemment totalement à la disposition des adoptants pour répondre aux questions qu’ils pourraient avoir à ce sujet mais il nous a semblé nécessaire de faire une mise au point.
 

Gabriel Lemonier
Bipède de la Chatterie du Korat Céleste

Planifier votre voyage :

Que ce soit en cabine ou en cargo, voyager pour un animal demande un peu de préparation, contrairement au train ou on peut quasiment voyager au pied levé, en avion c’est un peu plus compliqué que cela. La première étape, si vous voyagez avec votre compagnon, c’est d’acheter vos billets, mais prenez garde, chaque compagnie a des règles spécifiques, c’est bien jolie de trouver un billet pas cher mais si la compagnie qui gère votre vol ne permet pas le transport d’animaux (c’est le cas de certaines compagnies lowcost) bah vous ne pourrez pas lui faire prendre l’avion. Il faut aussi bien regarder les équipements que la compagnie exige, en règle générale, il faut que la caisse de transport ait des dimensions maximales spécifiques. Par ailleurs, elle doit permettre de ne pas laisser échapper des fuites (ndlr : d’urine par exemple). Elle doit aussi être verrouillable car contrairement à la photo sur l’article, votre chat n’aura pas le droit de sortir de sa caisse de transport !
 
Enfin il y a des restrictions de poids...

Règles sanitaires :

Consultez votre vétérinaire avant de prendre l’avion ! Là non plus, on ne peut pas prendre ce dossier à la légère. Même si on peut occasionnellement constater un certain laxismes lors des contrôles dans les faits, se faire prendre avec un animal qui n’est pas en règle et très pénible pour vous et votre compagnon. Par conséquent, il vous faut vous assurez que ses vaccins soient à jour, que votre chat ai un Passeport Européen et qu’il soit identifié par transpondeur RFID (les tatouages ne sont plus autorisé depuis le 1er Janvier 2016). Dans tous les cas, n’hésitez pas à vous rapprocher de l’ambassade du pays de votre destination, qui vous renseignera sur les lois en vigueur et d’éventuelles spécificités, vous épargnant ainsi le risque d’une mise en quarantaine à l’arrivée .

Un chat ça paie son billet mais pas que :

Une fois que vous avez le billet pour vous, vous devez appeler la compagnie aérienne pour la prévenir de la présence d’un chat sur le vol. En effet, il y a un loup, les compagnies Aériennes n’acceptent en cabine qu’un nombre limité d’animaux et en générale jamais des chats et des chiens en même temps. Par conséquent, pour qu’il puissent prendre votre vol, il faut que la compagnie l’accepte, du coup, acheter son billet sur les sites de booking est un pari sérieux, mieux vaut directement choisir une compagnie et aller au guichet... ce qui risque de vous coûter plus cher.... hélas...
 
Si toutes les conditions sont réunies, la compagnie va vous faire signer un papier qui vous engage à respecter certaines règles. L’une des plus grinçante concerne le remboursement à frais réel des dégâts occasionnés par votre compagnon. Un pipi sur un siège d’avion : entre 12 à 15000€ (si si vous avez bien lu ! ) du coup, il vous faut vraiment une caisse de transport qui assure et l’équiper d’un tapis d’incontinence (vous savez comme les serviettes hygiénique à la sphaigne qui absorbe tout blablabla) et il vous en faut en rabs dans votre sac en cabine ainsi qu’un sac à fermeture hermétique pour mettre les serviettes souillées ! car oui, vous pouvez aussi pendant le vol vous prendre une prune... une taxe pour nuisance olfactive...
Avant d’embarquer, allez immédiatement au guichet faire savoir que vous transportez un chat, vous rentrerez dans l’avion le premier avant la classe Business / Affaire / Premium-de-mon-cul !
 
Après tout les emmerdes, faut bien avoir quelques avantages  Enfin, n’hésitez jamais à solliciter le personnel de bord pour vous assurer du bien-être et du confort de votre chat ! En plus les hôtesses seront trop ravie “oh qu’il est trop trognon !” et autres phrases du genre qui va provoquer de leur part une sollicitude qui n’est pas désagréable

Pendant le vol :

La, c’est non négociable, le chat ne peux pas sortir de sa cage de transport, en cas d’infraction, la compagnie peut financièrement vous pénaliser voir vous exclure du prochain vol ! Votre chat doit donc pouvoir boire et manger, par conséquent, avant le décollage il doit déjà avoir à sa disposition ce dont il aura besoin. Bon... j’ai jamais vu un Korat casser la croûte pendant les voyages mais il faut quand même prévoir. Par ailleurs, pour la nuisance olfactive induit par la bouffe. Croquettes only ! ! ! Votre compagnon aime s’exprimer, pensez à demander à votre véto un calmant voir un somnifère, un chat qui chante un Requiem pendant le vol est en plus d’être socialement gênant peut très vite dégénérer, pensez à demander un billet qui donne sur l’allé centrale, c’est beaucoup plus pratique en cas d’incident !

Quelques astuces pour finir :

N’oubliez pas de prendre un collier et une laisse, car lors des contrôles (d’une société mondialisée paranoïaque ) avant d’embarquer, votre chat devra être sorti de sa caisse et tenu dans vos bras pendant que celle-ci est passé au rayons X !
 
N’hésitez pas à signaler la présence de votre chat auprès de tout les équipes aéro-portuaire ! Gardez les papiers de votre chat à porté de la main, ça vous fera gagner beaucoup de temps ! Assurez vous d’avoir des correspondances pendant votre voyage qui vous laisse une sérieuse marge de temps entre chaque vol, ça évitera le stresse de devoir parcourir les distances parfois immense entre deux zones d’embarquement et de stresser inutilement votre chat ! N’hésitez pas en embarquant dans l’avion à faire savoir à toutes les hôtesses et au commandant de bord la présence de votre chat ! Confirmer 3 jours à l’avance à la compagnie que votre chat sera bien du voyage ! 
 
Les cages de transport Cabrio, sont parfaites pour les vols long courrier, le tiroir pour la nourriture et l’eau est amovible sans avoir besoin d’ouvrir la cage : https://www.domainedeschats.com/sac-de-transport/64-cage-de-transport-cabrio-gris-chaud-022517507810.html

Parce que le chat est un être vivant, il va y avoir une question importante à se poser quant à la gestion des déchets qu’il va générer. La problématique est d’autan plus importante que dans la plupart des cas votre jeune compagnon va se retrouver à vivre dans un écosystème clos (ndlr : appartement, loft, etc...). Le chat génère 3 types de déchets qui ont des problématiques différentes ; les poils, l’urine et les fèces vont donc nécessiter une approche différente et générer des nuisances spécifiques. Les poils vont petit à petit saturer votre environnement, c’est par l’hygiène de la maison qu’ils vont être évacués. Nous vous conseillons un bon aspirateur cyclonique type Dyson. Il n’y a pas vraiment de problèmes et ce type de déchets n’est pas franchement valorisable (quoique... j’ai connu une personne qui avait un angora et qui collectait les poils de son chat pour garnir des petits coussins brodés...).
 
Mais passons aux choses sérieuses. Les déchets les plus désagréable.
 
L’urine du chat contient différent composés dont de l’ammoniaque et elle est très fortement odorante, même avec un nettoyage avec des produits d’entretien de super marché, l’odeur persiste. Les fèces des carnivores strictes comme la chat, puent. On ne peut rien y faire c’est une conséquence directe du régime fortement carné dont à besoin le chat. Certaines marques de croquettes vont vous vanter que votre chat aura des fèces moins odorantes mais en réalité c’est soit faux soit la qualité nutritive de la nourriture s’en retrouve fortement dégradée ! Donc au final, si on donne une nourriture de qualité qui répond au besoin de son chat....ses fèces puent !
 
Se pose alors le problème de la litière, et là... comme dans beaucoup de domaine on peut trouver tout et n’importe quoi et parfois même des produits qui frisent l’hérésie pour l’environnement !

Level 1 : Le bac

L’option la plus simple et qui est généralement celle opté par les adoptants n’ayant jamais eu de chat et de se procurer un bac simple. Il existe des bacs couverts ou plus élaborés mais basiquement le fonctionnement est le même : un récipient qui contiens de la litière...
 
AH AH ! on y viens à la litière ! ! !

Level 2 : La litière

Alors avant de rentrer dans le vif du sujet, faisons ensemble un point sur la fonction de la litière. Celle-ci n’a à la base qu’une seule fonction. Permettre au chat de pouvoir enterrer ses déchets, car le chat (ndlr : en général...) n’aime pas laisser derrière lui ses déchets visibles. Dans la nature, il va donc les recouvrir en grattant le sol (ndlr : et se transformer en terrassier....) . Dans notre écosystème humain, la litière va lui permettre de faire exactement la même chose. Ainsi votre chat aura “l’impression” que ses traces seront camouflés et il pourra ensuite continuer à patrouiller sereinement son territoire.
 
C’est pour cela aussi qu’il ne faut SURTOUT PAS se dépêcher d’enlever ses fèces une fois qu’il est sorti du bac mais attendre que l’attention de votre chat soit passé à autre choses sinon vous allez le perturber et ça....c’est pas une bonne idée ! Mais voilà... comme il faut laisser les fèces dans le bac un peu de temps de que celles-ci puent et qu’en règle général, nous les bipèdes, on aiment pas trop les trucs qui puent, les industriels dans un soucis altruiste (LOL ! ! ! ! ) se sont penchés sur ce problème en nous proposant des produits miracles que bien sûr ils vont nous faire payer une fortune !
 
Alors là je dis STOP tout de suite. Méfiez vous comme de la peste des éléments de langage du marketing et des promesses fabuleuses de ces litières à la durée prolongée qui déchirent.
 
Pourquoi ?
 
Pour deux raisons, la première est d’ordre sanitaire, garder une litière longtemps c’est accumuler dans son environnement des composés issu de la décomposition de l’urine et des fèces, en gros des bactéries qui, parce que le chat est un terrassier de bac à sable, vont se retrouver dans l’atmosphère de votre habitation et donc venir contaminer d’autres surfaces ! La deuxième raisons est d’ordre pratique, au plus vous attendez l’heure fatidique et inexorable du nettoyage du bac, au plus l’opération sera douloureusement infâme à réaliser. Donc utiliser une litière qui vous promet de durer 15 jours grâce à ses super pouvoirs (chimiques) va vous infliger la double peine de contaminer votre environnement et de rendre ultra pénible cette étape.
 
Le double effet kisscool de ces litières c’est qu’en prime votre chat risque de faire ses besoins ailleurs car lui, il va bien sentir que là c’est juste plus possible avant que les super pouvoir de cette litière magique aient cessé de faire effet !
 
Du coup... bah c’est dépenser de l’argent pour rien !
 
Un chat va à la litière 2 à 3 fois par jour, donc au bout de 3 jours c’est borderline et au bout de 6 c’est insupportable ! Donc pour les gens sensibles, la litière se change 2 fois par semaine, pour les autre une fois ; ce qui veux dire que vous allez changer 52 à 104 fois par an la litière donc nettoyer le bac, le désinfecter / désodoriser et que vous allez charrier 2 à 5 kg de litière par semaine soit environ 100 à 200 kg de litière par an ! ! !
 
Du coup, au plus la litière est basique, au moins elle coûte cher

Level 3 : Les geek ont proposé une solution : La litière auto-nettoyante et Lavable !

L’idée est de ne plus avoir à se palucher le transport et de limiter le nettoyage de la litière et de faire des économies. Par ailleurs et c’est le bonus de limiter l’impact écologie de ces déchets difficilement revalorisable. C’est l’option que nous avons opté pour la chatterie, je vous laisse faire le calcul... 5 chats * 200kg...par an... une tonne pour les adultes et je ne parle pas des périodes avec chaton ou la litière est changée pour des raison sanitaire 3 fois par jour.... voilà ! -_-
 
On a frisé les 2 tonnes une année.... TERMINE ! ! ! !
 
Si vous voulez en savoir plus sur cette litière, on a écrit un article qui en décrit le fonctionnement : https://www.domainedeschats.com/content/6-la-litiere-automatique-catgenie
 
Sans prendre en considération l’aspect économique qui est non négligeable, les déchets se retrouvent dans les égouts et donc son inclus dans le processus de recyclage des eaux usées humaines. Voilà, bien sûr la CatGenie à un coût d’achat important au départ mais elle est rentabilisée en 2 ans. Notre première Catgénie à maintenant 5 ans et fonctionne très bien ! les économies ne sont pas que d’ordre financier mais aussi d’ordre physique et l’impact environnementale des chats est bien plus réduit !
 
Evidemment, ce système nécessite une installation spécifique mais franchement nous on aime !

En conclusion :

Si vous ne pouvez pas avoir de CatGenie, prenez un bac à litière le plus simple possible et facile à nettoyer et choisissez une litière tout aussi basique de préférence en gravier.

Korat Céleste


Élevage de chat
de race Korat.
Siret : 81312819600033
 
 

Adresse


Korat Céleste
28, Rue du Bois Mottin
71120 Charolles